Creemos en nosotros,
aquí nadie reza.

domingo, 2 de enero de 2011

40.

Les petits justes

III
Avec tes yeux je change comme avec les lunes
Et je suis tour à tour et plomb et de plume,
Una eau mystérieuse et noire qui t’enserre
Ou bien dans tes cheveux ta légère victoire.

VI
Le monstre de la fruite hume même les plumes
De cet oiseau roussi par le feu du fusil.
Sa plainte vibre tout ce long d’un mur de larmes
Et les ciseaux des yeux coupent la mélodie
Qui bourgeonnait déjà dans cœur du chasseur.

VII
La nature s’est prise aux filets de ta vie.
L’arbre, ton ombre, montre sa chair nue : le ciel.
Il a la voix du sable et les gestes du vent.
Et tout ce que tu dis bouge derrière toi.

VIII
Elle se refuse toujours à comprendre, à  entendre.
Elle rit pour cacher sa terreur d’elle-méme.
Ella a toujours marché sous les arches des nuits,
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L’empreinte des choses brisée.

IX
Sur ce ciel délabré, sur ces vitres d’eau douce,
Quel visage viendra, coquillage sonore,
Annoncer que la nuit de l’amour touche au jour,
Bouche ouverte liée à la bouche fermée.

Paul Éluard.
Capitale de la douleur.

Acabo de recordar que sabía algo de francés.
Me gusta Eugène Grindel.


En fin, comienzo de año… Otro más que se perderá en el tiempo. Qué genial.

Espero que paséis buen año… O por lo menos mejor que el que me espera a mí.
Viva mi optimismo.

Que os follen con cariño.



Regarde, regarde, jeunesse se passe.
Je suis venue te dire à un moment.
D'égard, mégarde, Ma vie, faite de toi et moi, Je nous aime à présent.
Amour secret d'alcôve, nous sommes tous comme des fauves.
Ailleurs c'est ici. Eths.

1 comentario:

  1. Muchas gracias igualmente! No comento más porque el francés lo llevo fatal.....

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A veces los pensamientos vuelan tan alto que son prisioneros del sol.